Pour sa première exposition personnelle, Lucie Postel replonge dans un souvenir particulier : celui de la maison de sa grand-mère. Jouant avec les échelles, entre les espaces intérieurs et extérieurs, De la fenêtre, le lustre est tombé est comme le début d’un conte où nous sommes amené.e.s à suivre le rythme effréné et supposément inéluctable du tic tac des coucous qui s’envole, à poursuivre des trotteuses en forme de fleurs ou à être guidé.e.s par des êtres duels à mi-chemin entre la réalité et l’imaginaire, le tout dans un décor au parquet faussement grinçant où l’illusion est maître.